Respect des droits de la gent féminine : Les défis de la présidente Claudine PRUDENCIO à la tête de l’Institut National de la Femme! ( Une combattante engagée pour la cause des femmes béninoises)
Plus rien en sera plus comme avant en matière de la promotion de la femme et surtout en ce concerne la lutte contre les violences faites aux femmes. Le président Patrice TALON est déterminé à en rayer le mal de façon définitive au Bénin. Par décret 01/391 en date du 02 juillet 2021, le Président Patrice Talon a acté la création une nouvelle institution chargée d’œuvrer au bien-être de la gent féminine. Il s’agit de se donner les moyens d’action pouvant permettre de réduire les inégalités sociales, les violences basées sur le genre et les autres inégalités qui entravent l’épanouissement du sexe dit faible, mais qui pourtant a un rôle et une place fondamentale dans la société: la femme. À la tête de cette structure qui attend d’être installée et de s’investir dans sa mission, Claudine PRUDENCIO qui n’est plus à présenter sur l’échiquier politique béninois et qui est également et surtout connue pour son investissement dans la promotion du leadership et de l’autonomisation de la femme. Durant plusieurs années elle a fait ses preuves dans la défense des intérêts de la femme béninoise.
Le décret est clair et sans ambages, la mission de même. Il s’agit pour Claudine PRUDENCIO et son staff de constituer le bouclier de la femme béninoise contre les inégalités, les brimades, les violences de divers ordres tant dans la sphère familiale que sociale et professionnelle. En somme l’INF a défaut d’être le gendarme ou le garde-corps de la femme béninoise, est attendu dans une posture de facilitation sociale et d’interlocuteur privilégié dans la défense des droits des femmes. Il devient ainsi la figure tutélaire qui va fédérer la lutte pour un meilleur quotidien de la femme. L’atout principal dont pourra disposer Claudine PRUDENCIO est le bras armé dont le Président Talon l’a muni elle et les siens. Il s’agit de la possibilité de se constituer en partie civile dans toute procédure, mais également, celle de l’auto saisine. Cette double prérogative évitera de faire de cette institution, une machine inefficace. Désormais il y aura un arsenal juridique bien fourni qui permettra à l’Institut de faire un travail remarquable pour le bonheur des femmes. La présidente Claudine PRUDENCIO est dans un marigot bien connu mais les défis sont là.
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